La « science du changement » n’est pas une science exacte. Les organisations sommées d’évoluer, les individus face au changement, réagissent de façon incertaine – incertaine, mais pas totalement erratique.
En s’inspirant du Candide de Voltaire, le manager confronté à la nécessité de conduire le changement gagnera un temps précieux : c’est-à-dire en se défiant des grandes théories et privilégiant une démarche personnelle modeste et pragmatique.